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, le il y a 3 années et 3 mois. This post has been viewed 27104 times
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Je dis bien jouer les matchs à » donf » 😉
ce qui coule dans mes veines ne peut être que jaune et noir !
Et qu’il doit bien se mordre les doigts…
Les gars, attention à celui-là, il réfléchit avec les bras !
Entre « jouer tous les matchs à fond » et « faire l’impasse » il y a me semble-t-il un juste milieu. Toutes les équipes font des roulements et surtout à Perpignan. Soit nous n’avons pas un banc performant soit quelques joueurs n’ont pas fait l’effort pour se mettre au niveau des titulaires. Cela est déjà arrivé les saisons passées que nous revenions de l’extérieur avec les valises pleines. Il est possible également que l’on ait fait l’erreur de laisser au repos trop de « cadres » à la fois afin d’éviter les blessures. L’important est d’en tirer leçons et nos jeunes coachs vont analyser la situation.
On reconnaît le rouquin aux cheveux du père et le requin aux dents de la mère. Pierre Desproges.
Tu as raison. Je vais plutôt préciser qu’il faut jouer tous les matchs à fond à domicile et aligner une équipe compétitive à l’extérieur. Et donc arrêter les impasses à l’extérieur.
Ce qui sous entend qu’à la maison, on arrête avec les 1ère lignes tendres et des ouvreurs sans expérience si vous voyez ce que je veux dire.
Les gars, attention à celui-là, il réfléchit avec les bras !
Moi, je vois bien ce que tu veux dire !!! 😉
ce qui coule dans mes veines ne peut être que jaune et noir !
Si Chauvet est critiquable, que penser de Saubusse alors..! Ce n’est pourtant pas un perdreau de l’année…lui !
Voici une explication : les étoiles viennent de la voie lactée et Chauvet fait partie de la classe biberon !!! Bon cela ne dit pas pourquoi le Midol attribue des étoiles !!!
On reconnaît le rouquin aux cheveux du père et le requin aux dents de la mère. Pierre Desproges.
Concernant la stratégie, je pense que le fait de tout jouer ne comporte aucun risque, si ce n’est d’avoir des regrets, choses que nous avons maintenant régulièrement chaque saison…
L’effectif du Stade n’est certes pas pléthorique, mais avec de l’intelligence et de l’audace, on sait pallier (je dis bien pallier) quelques limites ou absences.
Hormis les piliers et talons qui ont des caractéristiques et un « métier » très spécifique, il existe des combinatoires possibles par ailleurs. Je l’ai déjà abordé, mais apprendre c’est aussi répéter…
Donc on peut intervertir sans risques les 2ème lignes et le 3ème ligne centre, les 3ème ligne ailes et les centres, l’arrière et le demi d’ouverture, le demi de mêlée et les ailiers (exemple Juju).
Mais pour cela il faut qu’il y ait de la volonté, de l’audace, de la prise de risque en faisant travailler à ces postes les joueurs susnommés lors des entrainements.
En donnant de la polyvalence, et en la créant justement via les entrainements, non seulement on augmente la capacité de changement, mais aussi la facilité d’adaptation! De plus en ayant travaillé sur le poste d’un autre, on comprend mieux sa perception et ses performances.
Seulement voila, c’est novateur et disruptif: pas une question d’argent, mais plus de volonté, car comme de bien entendu, en étant suiveur on n’est jamais premier….
Si besoin, je n’ai aucun souci à en débattre avec quiconque. C’est de l’organisation d’entreprise et de la flexibilité.
Je ne sais pas si tu vas trouver beaucoup de clients pour débattre car les gens sont frileux. Mais, je vais te donner mon sentiment, qui vaut ce qu’il vaut.
Tu prônes l’émergence des couteaux suisses, mais je doute de leur efficacité. Il n’y a qu’à voir le marasme à notre charnière depuis que les titulaires sont sur le flanc. Titulaires, voila un mot que tu sembles bannir avec ta vision des « couteaux suisses »… Mais on a payé pour voir, et pas si loin que ça à Perpi…disruptif, dis-tu ???
Oui, tout le monde ne court pas le 100m sous les 10s, n’a pas les mêmes aptitudes physiques, n’y la même intelligence de jeu … c’est ainsi! Tous le joueurs n’ont pas le même potentiel, ni la même côte sur le marché. Et c’est là que resurgit la notion de budget.
Lorsqu’une équipe « type » prend forme, nos entraineurs ont toutes les peines du monde a mettre sur pied un bon scénario ( et avec les meilleurs). Confrontés à l’obligation immédiate de résultats, il devient presque impossible de faire des tests grandeur nature, sinon quand la situation l’impose à cause des blessures, avec tous les risques que cela comporte.
Je comprend parfaitement l’impasse faite à Perpi où le staff a pesé les chances d’une hypothétique victoire à celle d’une plus réaliste à domicile avec tous ses cadres. Après, lorsqu’on connais la suite, le report du match contre OYO , on peut toujours dire » on aurait pu…ou on aurait dû… »
Maintenant, il est plus facile de faire une rotation avec des joueurs déjà formés, qui ont un vécu, qu’avec des arpètes.Mais, c’est plus cher et que tu le veuilles ou non, il faut des sous !
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