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, le il y a 3 mois et 1 semaine. This post has been viewed 10581 times
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Même si l’expression sur ce forum est libre, la lisibilité gagnerait en faisant quelques efforts de grammaire et d’orthographe. Il y a toutefois un point que je ne comprends pas/plus et qui anime pourtant les discussions: pourquoi viser une place dans le top 6 de proD2 sachant que le président et le staff ne souhaitent pas monter à l’échelon supérieur ? Je veux bien croire à des retombées de notoriété pour la ville, et encore quand on voit l’attractivité engendrée je doute… Nous avions plus de communication au temps d’intervilles! Un autre concerne le « travail » nécessaire : tant que les joueurs considéreront plus le travail que le plaisir, l’individualisme au groupe, on sera loin du compte. Le rugby ne souffre pas d’investissement minimal, soit on joue à fond, soit on ne joue pas!
Donc on se fixe quoi comme objectif ? si on ne vise pas les phases finales quel est l’intérêt d’avoir un club en pro d2 ?
Les 6 premiers du championnat se partagent une prime. Et si le club réussit également à atteindre la moyenne de 17 jiff en fin de saison , cela rapporte pas mal d’ euros au SMR.
On reconnaît le rouquin aux cheveux du père et le requin aux dents de la mère. Pierre Desproges.
Les 6 premiers du championnat se partagent une prime. Et si le club réussit également à atteindre la moyenne de 17 jiff en fin de saison , cela rapporte pas mal d’ euros au SMR.
Il ne doit pas y avoir beaucoup de clubs qui arrivent à cette moyenne de jiff si ?
Si ! 11 sur 16 exactement. Si le SMR est arrivé à une moyenne de 16,53 , 11 équipes ont dépassé la moyenne de 17 lors de la saison 2022-2023 :
Aurillac 18,17 /Colomiers 17,87 / Massy 17,73 / Grenoble 17,64 /Oyonnax 17,13 /Rouen 17,13 /
Agen 17,10 / Nevers 17,06 / Provence 17,03 /Montauban 17 / Soyaux 17 /
Source : LNR.
On reconnaît le rouquin aux cheveux du père et le requin aux dents de la mère. Pierre Desproges.
Et actuellement Keith, toi notre expert comptable ès jiff (et pas que …), on en est à quelle moyenne ?
Pour 11 Sm40: j’avoue que mon constat est un peu désabusé, mais franchement hormis le pactole du top6 qui peut équilibrer les comptes ou garantir un investissement sportif, je ne vois pas grande motivation pour le jeu et les joueurs.
Certes le staff est bon et conserve encore quelques « valeurs » qui font que le gnac est parfois présent mais pour quel objectif??
C’est facile de dire que le budget est limité et donc les ambitions aussi…je crains que les joueurs sombrent dans l’alimentaire et ne « mouillent le maillot » que pour justifier leur salaire.
En rugby pro c’est facile de tricher car l’individualisme prime sur le groupe, et hormis quelques « locaux » l’honneur du maillot est sur une étagère avec les vieux trophées.
Je ne dis pas que les Montois sont tombés là dedans, je précise que c’est un risque à ne pas négliger faute d’objectif précis pour le collectif.
Mon cher JL pour l’instant nous sommes à une moyenne de 17,41 soit 296 jiff utilisés en 17 matchs déjà disputés.
17 jiffs x 17 = 289 ce qui signifie que le SMR a actuellement 296- 289 = 7 jiff d’avance pour atteindre la moyenne de 17 et toucher au moins 220 000 €
La saison passée , on était très bien sauf de mémoire jusqu’aux 6 dernières journées.
P.S. : je suis né au moun et non pas à Jiff sur Yvette !!!
On reconnaît le rouquin aux cheveux du père et le requin aux dents de la mère. Pierre Desproges.
Et après bien que respectant nos adversaires de poule, dire que Vannes, Rouen et Nevers sont des terres de rugby….
J’ai comme un doute. Oui le rugby se développe « aux quatre coins » de l’hexagone heureusement, mais cela reste un sport qui se transmet par héritage de générations et ancrage local.
Après la puissance financière de certaines localités fait qu’elles peuvent « s’offrir » un club de proD2 et les joueurs qui vont avec, mais où est l’âme? Où est la passion?
On confond spectateurs et supporters et c’est une drôle de dérive.
Il faut évoluer avec son temps, certaines villes se passionnent pour le rugby au delà du financier. Il y a des petits clubs amateurs loin des « terres rugby » qui vibrent chaque dimanche pour ce sport.
Quand on voit le travail que font les clubs de la région Parisienne au niveau école de rugby on devrait s’en inspirer. Il ne faut pas croire qu’être une terre de rugby suffira à nous maintenir au haut niveau.
« Après la puissance financière de certaines localités fait qu’elles peuvent « s’offrir » un club de proD2 et les joueurs qui vont avec, mais où est l’âme? Où est la passion? On confond spectateurs et supporters et c’est une drôle de derive «
Panem et circenses. Du pain et du cirque. Quand on voit les bretons qui se sont mis au gavage « industriel « , à la culture des tomates sous serres et à la production d’algues vertes en quantité, leur approche du rugby me fait peur. J’ai eu la chance de connaître le rugby breton à ses débuts à Rennes et Lanester. On était entre gars du sud ouest en train d’evangeliser des autochtones. Une sacrée époque.
Grosse Suspicion de ligaments croisés pour Jelonch… Ça veut dire que l’on risque de pas revoir Banos.
Perdre Laousse et Banos à la mi saison serait catastrophique
benquet : »Nous n’avons pas la taille patron ..! Mais de qui parle-t-on, des joueurs ou du staff ..? »
Je serais tenté de dire … des deux ….
Des joueurs moyens, qui ne sont pas en capacité de se « surpasser », ou de surpasser leurs adversaires quels qu’ils soient, et régulièrement. D’un staff qui montre ses limites avec du jeu stéréotypé, qui n’évolue pas, qui doit être à l’heure actuelle archi décrypté par toute la ProD2 … Pour une fulgurance d’un joueur à un moment donné, combien de déchet collectif et individuel, faute de maitrise ?
Ce qui me fait le plus râler, c’est de voir des garçons qui souvent – de façon individuelle – ne semble pas sentir les coups, ne savent pas mettre de la vitesse au bon moment – ne savent pas se replacer intelligemment … Et collectivement, le manque de fluidité, le manque de complémentarité avant\ trois quart …
Ce constat je crois que nous sommes plusieurs à le partager. Mais cela devient frustrant de n’avoir droit qu’à des »promesses de mieux » de façon ponctuelle lors de certaines parties …
Restons mobilisés.
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