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- Ce sujet contient 51 réponses, 24 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par Anonyme, le il y a 11 années et 5 mois. This post has been viewed 1467 times
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31 octobre 2012 à 7 h 41 min #27521AnonymeInvité
On nous sort systématiquement l’exemple Bordeaux. L’exception, une des seules en 10 ans qui confirme la règle (en année Coupe du Monde, avec ce que cela fausse comme données).
Pour ta gouverne, Grenoble a un budget de 14.9 millions soit 140% de + que le SMR et c’est le 10ème budget.
Voici le classement actuel à la 9ème journée et le classement des budgets
1 Toulon 37
2 Clermont 32
3 Toulouse 29
4 Montpellier 27
5 Castres 24
6 Grenoble 22
7 Biarritz 20
8 Racing Métro 20
9 Perpignan 20
10 Paris 19
11 Bordeaux 15
12 Bayonne 15
13 Agen 14
14 Mont-de-Marsan 21 Toulouse : 34.9
2 Clermont : 25.5
3 SF : 22.8
4 Toulon : 21.8
5 Racing : 21.7
6 Bayonne : 17.9
7 Montpellier : 17.5
8 Biarritz : 17.3
9 Castres : 15.6
10 Grenoble : 14.9
11 Perpignan : 14.4
12 Agen : 13.2
13 UBB : 11.9
14 Mont de Marsan : 6.2Pour le moment (mais bien sur, la vérité sera celle de la fin de saison) Paris et Bayonne sont mal classés au regard de leur budget et Castres est survalorisé (Grenoble un peu moins), mais cela tient sans doute aux hommes et aux entraineurs qui y sont et qui n’y resteront pas. Laurent Travers et Laurent Labit vont passer de Castres au Racing et Landreau ne passera sans doute pas sa vie à Grenoble.
L’argument économique est bien sur déterminant. Qui peut croire le contraire ? Et comparer les structures de Pyrénees Atlantiques (qui ne sont plus basses depuis 40 ans) avec son bassin de population (et 2 clubs qui agrègent à 10 kms d’écart 35 millions d’euros de budget) aux Landes dont les 2 clubs peinent à réunir en période normale (prod2) 8 millions d’euros ne tient pas la route.
31 octobre 2012 à 7 h 59 min #27525AnonymeInactif« L’argument économique est bien sur déterminant. Qui peut croire le contraire ? Et comparer les structures de Pyrénees Atlantiques (qui ne sont plus basses depuis 40 ans) avec son bassin de population (et 2 clubs qui agrègent à 10 kms d’écart 35 millions d’euros de budget) aux Landes dont les 2 clubs peinent à réunir en période normale (prod2) 8 millions d’euros ne tient pas la route. »
Sans vouloir faire l’avocat du diable (expression bien sur) je pense que Gil, Ricou, dit qu’il y a de quoi puiser en terme de sponsoring dans les landes autant que dans les basses, pardon, les Pyrénees Atlantiques 😳31 octobre 2012 à 9 h 35 min #27538AnonymeInvitéVoici la réponse de Cazeaux, vendredi soir après TAP :
– le Stade + Dax = en version pro d2 avec 2 clubs, c’est 8 millions au maximum
– le Stade et Dax fusionnés = 7 millions (avec 1 club au lieu de 2, on perd mécaniquement 1 subvention LNR sur les 2).
– le Stade + Dax avec le socle économique partenaire à terme et aux mieux, en puisant dans les ressources locales = 9-10 millions maximum. La fusion n’a donc aucun sens sportif et économique.C’est la réalité des chiffres de ceux qui ont les mains dans le cambouis et qui renvoie aux vrais structures locales en matière de ressources économiques. Pas du supputé ou de l’espéré …. du tristement désespérant !
Voici les différences entre nos 2 départements :
Les landes fin 2010, c’est 40500 établissements. Il y a 375.000 habitants. L’industrie repose sur le bois et le papier et l’agriculture sur le mais et le canard.
Les PA fin 2010, c’est 73500 entreprises (81 % de plus) et 2 poles urbains majeurs : le Béarn autour de Pau et le Pays Basque avec le BO et l’AB. Il y a 660.000 habitants (76 % de plus).
La prédominance du tertiaire et la forte industrialisation du département avec de grands établissements, notamment dans l’aéronautique, la chimie, ou encore la métallurgie. De nombreuses entreprises sont impliquées dans des pôles de compétitivité.Voila la grosse différence.
31 octobre 2012 à 10 h 42 min #27542madoffParticipantet si on lisait les propos d’Ibanez dans S.O de la semaine dernière qui s’inquiète de l’avenir du rugby landais
ce garçon est posé et intelligent mais maintenant il se pose les questions depuis Bordeaux (qui a quand même eu beaucoup de mal à exister au haut niveau avec un tissu économique très favorable.Mont-de-Marsan est une équipe très combative, qui a montré d’énormes valeurs depuis le début de la saison. Mais, après, que Mont-de-Marsan gagne ou perde, ce n’est pas vraiment le problème si on veut avoir une vision plus large du rugby landais. Au-delà de la rivalité entre Dacquois et Montois qui me paraît maintenant dépassée, je crois que le rugby landais perd son temps actuellement. Évidemment, on voit depuis quelque temps des rapprochements entre différents clubs. Mais pour inscrire une équipe dans le très haut niveau et pas simplement dans le bas de Top 14, il faut rassembler toutes les ressources : pas seulement entre entrepreneurs comme je l’ai entendu récemment, mais aussi les ressources humaines. Je ne suis pas proche de Marc Dal Maso car on ne l’était pas quand on jouait, mais ses compétences d’entraîneur sont extrêmement reconnues. Et je m’étonne qu’un élément comme lui n’ait pas la possibilité de s’exprimer dans une structure de haut niveau […] J’ai l’occasion de voir des tournois de jeunes et de constater combien le rugby landais est riche à travers ses clubs de Peyrehorade, Saint-Paul-lès-Dax, Tyrosse, Mont-de-Marsan, Dax… Et je m’étonne qu’on n’ait pas envie de dynamiser avec un club phare. On parle de fusion, mais c’est plutôt la confusion qui règne. Il faut savoir utiliser toutes les armes. »
31 octobre 2012 à 11 h 32 min #27544AnonymeInvitéLe président y a répondu dans TAP : les landes réunies, c’est 9-10 millions d’euros donc c’est ne pas exister au 1er plan.
Ibanez, il est parti faire des sous sous à Bordeaux alors quelles leçons a-t-il a donner ? A-t-il mis les mains dans le cambouis une fois ? A-t-il actionné ses réseaux ?
Mieux vaut donc garder nos 2 clubs. La fusion n’est pas à l’ordre du jour comme l’atteste l’article d’hier avec le pôle économique commun entre Dax et Mont2.
31 octobre 2012 à 12 h 14 min #27546FranckecitoParticipantComplètement d’accord avec Ricou… Renoncer à 50 ans d’hstoire pour gagner 1 million d’euros de budget, ce serait stupide et contre productif… De toutes façons, les fusions, si c’était une solution viable, et depuis le temps qu’on en parle, il y en aurait eu d’autres dans le rugby français!
La seule dont j’ai souvenir, c’est Tarbes-Lanmenezan, qui s’était je crois soldé par une descente et une rapide rupture d’un commun accord…
Ce que les Landes ont en revanche, et que n’auront jamais Lille, Lyon ou Marseille (pour parler des clubs qui seront dans l’élite dans 10 ans…), c’est un tissus dense de petits clubs et une culture du rugby…
Nos clubs n’existeront plus au haut niveau. Jusqu’en mai dernier, je pensais qu’épisodiquement on pourrait monter jouer les trouble-fêtes dans l’élite, mais on voit cette année que c’est un jeu devenu trop dangereux…
Par contre, j’aimerais voir des clubs landais bien installés en Pro D2 et FORMATEURS, à l’image de ce que fut Auxerre en football…
J’aimerais des compos avec chaque dimanche 10 joueurs formés au club sur la pelouse…
J’aimerais que chaque année 2 ou 3 joueurs partent dans les meilleurs clubs français, et pas seulement pour cirer le banc…
J’aimerais revoir des joueurs formés dans les Landes en équipe de France… Il y a 20 ans, la moitié du XV de France sortait des écoles de rugby des Landes. Castaignède (Thomas et Stéphane), Lacroix, Dourthe, Ibañez, Lamaison, Peyrelongue, Dubois, Accoceberry, Magne… Aujourd’hui, reste-t-il des joueurs landais en équipe de France?C’est sur ce dernier point que je trouve que le bât blesse… Pourquoi Bourgoin a sorti l’équipe de France actuelle et plus nous?
Sur ce point de la formation je suis d’accord avec Ibañez.
Que la fusion soit une solution, non.3 novembre 2012 à 8 h 17 min #27853AnonymeInvitéQuote:Citation de Ricou le 31 Oct 2012, 07:41
On nous sort systématiquement l’exemple Bordeaux. L’exception, une des seules en 10 ans qui confirme la règle (en année Coupe du Monde, avec ce que cela fausse comme données).Pour ta gouverne, Grenoble a un budget de 14.9 millions soit 140% de + que le SMR et c’est le 10ème budget.
Voici le classement actuel à la 9ème journée et le classement des budgets
1 Toulon 37
2 Clermont 32
3 Toulouse 29
4 Montpellier 27
5 Castres 24
6 Grenoble 22
7 Biarritz 20
8 Racing Métro 20
9 Perpignan 20
10 Paris 19
11 Bordeaux 15
12 Bayonne 15
13 Agen 14
14 Mont-de-Marsan 21 Toulouse : 34.9
2 Clermont : 25.5
3 SF : 22.8
4 Toulon : 21.8
5 Racing : 21.7
6 Bayonne : 17.9
7 Montpellier : 17.5
8 Biarritz : 17.3
9 Castres : 15.6
10 Grenoble : 14.9
11 Perpignan : 14.4
12 Agen : 13.2
13 UBB : 11.9
14 Mont de Marsan : 6.2Pour le moment (mais bien sur, la vérité sera celle de la fin de saison) Paris et Bayonne sont mal classés au regard de leur budget et Castres est survalorisé (Grenoble un peu moins), mais cela tient sans doute aux hommes et aux entraineurs qui y sont et qui n’y resteront pas. Laurent Travers et Laurent Labit vont passer de Castres au Racing et Landreau ne passera sans doute pas sa vie à Grenoble.
L’argument économique est bien sur déterminant. Qui peut croire le contraire ? Et comparer les structures de Pyrénees Atlantiques (qui ne sont plus basses depuis 40 ans) avec son bassin de population (et 2 clubs qui agrègent à 10 kms d’écart 35 millions d’euros de budget) aux Landes dont les 2 clubs peinent à réunir en période normale (prod2) 8 millions d’euros ne tient pas la route.
Décidément, on va finir par croire qu’ils viennent nous piquer les idées ceux-la :http://www.sudouest.fr/2012/11/03/le-poids-de-la-logique-economique-868719-8.php
Hélas, ce n’est pas uniquement 15 gars de chaque côté ….
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