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, le il y a 11 années et 7 mois. This post has been viewed 754 times
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Aujourd’hui dans le Midol Vert:
– Si nous, nous ne croyons pas en nous…
– En bref…
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Également l’article du jour de Sud-Ouest: Pas question de renoncer
… mais aussi: Blanchard s’y voit déjà
L’article du jour de Sud-Ouest: Pic ne laisse pas tomber
Mais aussi:
– Les blessures minent le début de saison montois
– Stéphane Prosper veut effacer la claque face à grenoble
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Également côté Clermontois:
Sortie risquée pour une ASM remodelée chez des Montois vexés et en appel, ce soir (18 h 30)
« On ne veut pas être les cons qui perdent à Mont-de-Marsan ! ». Vern Cotter a gauloisement cadré le danger de ce déplacement à la fois simple et compliqué dans les Landes.
Tout les séparent. Vraiment tout. À telle enseigne que le jeu des parallèles obligerait presque à verser dans la caricature tant les écarts sont abyssaux. Budget, effectif, sélections, ambition, organisation, stade…
Partout, hormis peut-être au rayon « canapés de foie gras et aiguillettes de canard » dans les loges de leur enceinte respective, Mont-de-Marsan ne souffre pas de la comparaison avec Clermont.
Les canapés de Mont-de-Marsan peut-être meilleurs…
Non, Clermont ne peut pas perdre à Mont-de-Marsan ce soir. Ou plutôt n’a pas le droit d’y perdre ! Même si cela peut sembler présomptueux – c’est précisément là le piège de ce duel disproportionné – Clermont doit reprendre l’avion, ce soir, à Pau, avec quatre (ou cinq) points dans la soute.
Au club, on a visiblement bien saisi ce qui s’apparente, qu’on le veuille ou non, à une nécessité. « Je n’ai pas envie qu’on passe pour les cons qui perdent là-bas ! Mont-de-Marsan a mal débuté son championnat, mais on sait qu’ils gagneront deux ou trois matches au moins. Alors, attention », cadre Vern Cotter.
L’entraîneur des Auvergnats sait d’autant mieux où il met les pieds qu’il n’a sans doute rien oublié de sa colère froide de 2008, après une défaite piteuse à Guy-Boniface (12-11). Un revers cuisant qui, à l’instar de celui concédé à La Rochelle il y a deux ans, figure au Panthéon de ces remugles de rugby de l’encyclopédie « jaune et bleu ».
À moins, et c’est alors leur seule utilité, qu’ils ne servent justement de témoin d’alerte ? Une dizaine de joueurs « héros malgré eux » de ce non-match dans la grisaille et la boue landaises, de Rougerie à Vermeulen, en passant par Domingo ou Cudmore, seront sur la feuille de match aujourd’hui. Tous devraient s’en souvenir et s’en servir pour ne pas revivre pareille gifle.
Clermont : on tourne. La saison sera longue. Logiquement, l’ASM va faire tourner. « Un équilibre entre ceux qui ont joué contre le Racing et ceux qui ont besoin de temps de jeu », explique Cotter. Dix changements sont effectifs dans le XV de départ. A noter le retour du capitaine, Rougerie.
L’efficacité avant tout. On l’a vu il y a quinze jours, Toulon a dû attendre la fin de partie pour mâter le Stade Montois. Clermont visera donc d’abord l’efficacité avant tout. Ce que confirme le coach : « On veut éviter le piège. Cela nous obligera à jouer simple ». Occupation du terrain, le pied de Byrne sans doute mis à contribution. l’ASM cherchera d’abord à se mettre à l’abri avant de faire de la dentelle… si l’occasion se présente. L’ASM devra donc être patiente, se rappeler que Mont-de-Marsan n’a craqué que dans le dernier quart d’heure à Toulouse ou face au RCT.
Des Montois remontés… Perdre contre Toulon ou Toulouse, ou chez le leader biarrot n’a pas gêné les Montois. En revanche, la raclée ramenée de Grenoble (52-7) a ébranlé l’édifice. « Après trois gros matches, on a cru que ce serait à notre portée. On a pris la fessée », regrette le centre Chedal-Bornu. Du coup, vexés, les partenaires de l’ex-Clermontois Arnaud Pic voudront se reprendre. Gare à la réaction d’orgueil, le sel du rugby…
Mais aussi très handicapés. Déjà moins forts sur le papier, les Montois doivent aussi composer avec un effectif décimé. Notamment sur deux postes clés, où les trois talonneurs et les trois ouvreurs sont out ! (source: lamontagnbe.fr)
Deux autres articles:
Quote:Citation de mounlight le 15 Sep 2012, 09:00
Deux autres articles:« Dans quinze jours, il y aura un pathétique Mont-de-Marsan – Agen au menu. »
Pathétique journaliste, oui…
C’est clair que la journaliste est aussi pathétique que son papier !!
Elle s’y connait autant en rugby que moi en pneu michelin !!
Même si le rugby local est au plus mal, au moins on en a un nous, qu’est ce qu’il y a à part Clermont autour ?Les journalistes respectent toujours autant le Stade Montois ca fait plaisir !
C’est quoi cette journaliste, qu’est ce quelle connait du rugby Landais pour dire qu’il est en plein désarroi, quelle regarde les clubs de rugby autour de chez elle comparé aux notre y’a pas photo.Une fois de plus, on est pris pour des rigolos dans ce championnat de top14
Et pourquoi ça serait une femme? N’avons nous pas eu un président de la république qui avait pour prénom: VALERY 😉 😀 😀 😀
https://m.facebook.com/valery.lefort?refid=17
Pour ceux qui aimerait voir sa face de t****d!et qui aurait 2 mots à lui dire…
de toutes manières les médias, tout comme les arbitres, voire même les instances du rugby , tout ce petit monde, n’aime pas voir mont de marsan en top 14 faut pas rêver!!!!
si avec des joueurs 10 fois moins payé on bat toulon toulouse ou clermont ça ferait désordre!!!!!! mais j’ai pas vu (à par en budget) des équipes terriblement supérieures à nous
avec à peine 1 peu plus de moyens, de réussite, et d’équité arbitrale nous aurions même pu le faire!!!!!
bref continuons à déranger …………….et à leur montrer que certaines choses ne s’achètent pas!!!!Dans une équipe de rugby, il n'y a pas de passagers, il n'y a qu'un équipage.
Non, Mitch, tu ne peux pas dire cela : le budget fait la différence, à long terme, toujours :
– dans la capacité à tenir 80 minutes voire plus …
– dans la gestion des temps forts et des temps faibles parce que l’habitude du haut niveau et donc l’expérience apprennent à gérer, à adopter la bonne posture, à être roublard …
– dans la capacité à faire le bon geste au bon moment sans énervement et précipitation : par 2 ou 3 fois, nous avons été en position de marquer un essai. On conclue hélas chaque action en disant « on rate la dernière passe, le dernier geste ». A ton avis pourquoi : parce se retrouver rarement dans ces situations qui impliquent le geste approprié entraîne fatalement une difficultés à faire ce « bon » geste. Le stress et l’énervement l’emporte sur la qualité ….. ça fait la différence et ça a donc un prix…
– la rôle du banc est aussi déterminant car il fait la différence au moment où les organismes commencent à être érintés
– la saison est longue et la puissance et le kilo de masse physique et musculaire ont un coût, la rareté faisant là encore son prix …
– le talent individuel tout simplement et ça, quand ca se déniche, que ça se sait et que ça se voit, ça coûte cher. Les présidents ne sont pas fous et paient quand ils savent avoir en retour des hommes qui font la différence.Pour tout cela, 6 millions n’en feront jamais 20 ou 25 et c’est cette logique économique qui est antérieure à la logique sportive qui en découle ….
Etre « à 2 doigts d’y arriver » mais ne jamais y arriver contre ces équipes là, ça s’explique et surtout, ça s’explique rationnellement.
Des matchs comme ceux de Chaban, on peut en faire 1 mais pas 20 dans une saison …. c’est ce qui entretient la glorieuse incertitude du sport dans un match de phase finale à élimination directe mais hélas, pas sur la durée d’un championnat.
Tu as bien sûr raison Ricou, mais je suis en partie d’accord avec mitch40: comment se fait-il que l’on ait un calendrier aussi défavorable en début de saison, ce qui a pour conséquence de nous couter pas mal de blessés?
Les arbitres, je suis désolée j’y reviens dessus mais on ne peut pas ne pas en parler, nous surveillent davantage jusqu’à en oublier qu’il y a une autre équipe en face. Et nous sommes forcément beaucoup plus sanctionnés.
Petit club, petit budget, ça fait désordre dans le top14. C’est une réalité.Les arbitres nous regarderont toujours car la résistance est toujours jugée comme suspicieuse et donc illégitime.
Hélas petit club et petit budget auront de moins en moins de chance dans ce monde impitoyable qui a choisi une voie depuis 30 ans : l’unique voie de l’inégalité par la différence de moyens.
L’exception qui confirme la règle reste donc bien Bègles-Bordeaux en 10 ans ….. et c’est la seule qu’on nous ressort en boucle … parce qu’elle reste exceptionnelle donc rare et difficilement reconductible.
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