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, le il y a 6 années et 11 mois. This post has been viewed 334 times
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.Les « Fauteuil-Boys »(Fiction de l’été)Reportage parmi les ultras de la nouvelle tribune :.Chaussures bateau, Ray-Ban et costumes sans cravate, bienvenue chez les « Fauteuil-Boys », les sulfureux ultras de la nouvelle tribune du stade Boniface. À la faveur de la saison 2017-2018 de la célèbre compétition de ProD2, Georges-Henri B. de V. de la S. *, leur leader, sort de l’ombre.
“Le rugby or not to be”.À l’origine, l’aventure commence autour d’une poignée de jeunes aristocrates Landais qui, inquiets pour leur sécurité à l’occasion de leurs trajets au milieu du pesage, décident de ne plus jamais se déplacer seuls. Fans de spectacles de rugby pour la plupart, mais aussi de golf, le groupe se trouve rapidement un slogan percutant, “Le rugby or not to be”, qui séduit une classe sociale particulièrement réceptive.
Par proximité autant que par affinité, la troupe finit par prendre ses habitudes dans la tribune centrale-est du stade de Mont de Marsan où elle se fait rapidement remarquer par son débit de champagne et mignardises et ses plaisanteries sur l’ISF. Nous sommes en 2017, les « Fauteuil-Boys » sont nés.
Sous l’impulsion de Georges-Henri, les pratiques se radicalisent et les « boys » se délurent. L’un d’eux va jusqu’à s’exclamer un jour en pleine tribune :
« Cet arbitre de ligne est un gueux !!! ».Marquant ainsi le premier esclandre d’une longue série. Cette année, leur nouvelle marotte, inspirée par le milieu du football, consiste à imiter le cri du prolétaire quand un gagnant du concours de pronos, organisé par le site/forum, les croise. Ces supporters non abonnés dont les noms « sentent bon la reconduite à Pôle-emploi », selon les « boys ».
Tapage nocturne à l’espace partenaire..Leurs frasques pourraient cependant toucher à leur fin. Rappelés à l’ordre pour tapage nocturne dans l’espace receptif du stade, beaucoup ont pris peur. « Plus tard, j’aimerais intégrer une grande entreprise du Cac40 ou même me lancer en politique comme mon père », explique l’un d’eux.
« Ça me manquera mais je ne peux pas me permettre de vivre aussi dangereusement !!! »..* Par souci d’anonymat les prénoms et les particules ont été changés.
«Au Fidji, on mange les gens» Timoci Matanavou
Du grand art que » cette fiction de l’été « . 😉
ce qui coule dans mes veines ne peut être que jaune et noir !
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