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, le il y a 4 années et 9 mois. This post has been viewed 11667 times
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Sommes nous capables de jouer un autre rugby ? ( surtout avons nous la technique individuelle pour le faire?
Au pied du mur
Aujourd’hui ce ne sera pas un résumé du match mais plutôt une impression, un ressenti.
On savait bien que ce serait compliqué mais il fallait l’envie pour aller chercher la confiance et avec, la joie et la réussite. De réussite il n’ y eut pas, de joie non plus. C’est ce qui frappe lorsqu’on voit le Stade Montois évoluer, on sent cette équipe engoncée dans une crainte de faire des fautes dans et contre le jeu. Hier soir j’ai ressenti de la tristesse et de la résignation, des hommes qui , à quelques rares exception près, n’expriment pas leur talent que l’on sait pourtant. C’est ce manque d’entrain qui occasionne le plus souvent un petit retard dans le timing sur une passe, sur une intention, sur un choix, une décision, cette fraction de seconde qui fait souvent la différence entre une maladresse et une occasion, entre le doute et la confiance. Cette équipe doit se débarrasser de ses habits trop étriqués qui la contraigne, elle doit se libérer dans le sillage des ses hommes de base, Cédaro, Baker devant, Laousse derrière.
Quelquefois, face à des Sapiacais loin d’être des foudres de guerre, nous aurions pris ce match à notre compte mais des successions d’approximations ont permis aux locaux s’inverser la pression chaque fois qu’il semblait que nous pouvions revenir dans le match.
Cette équipe a besoin de se retrouver sur les bases, la conquête, irrégulière ce soir notamment en mêlée, mais aussi sur sa capacité à dominer son adversaire dans les duels par une agressivité saine à même de restaurer la confiance.
Contre Rouen l’heure sera au combat, la « méchanceté » celle qui fait douter l’adversaire et qui rassure ses partenaires. Dernier ce soir, le Stade n’a pas d’autres choix que de gagner contre les Normands, gagner de telle façon que chaque joueur se sente fort à l’issue de la rencontre. Avec cette confiance, ce qui ne passait pas passera, la joie reviendra, la réussite aussi.Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent. Carl Jung
Si nos joueurs ont été moins sanctionnés on note encore trop d’imperfections dans le jeu : en avant , ballon arraché , récupération sous les chandelles , difficulté pour marquer près de la ligne d’en but. Quant à notre jeu au pied il a été catastrophique surtout en première mi-temps. J’ignore si cela tient à un manque de confiance , à un manque de technique individuelle, à un problème de management mais il faut que le Stade trouve vite le chemin du succès et pas plus tard que la semaine prochaine.
On reconnaît le rouquin aux cheveux du père et le requin aux dents de la mère. Pierre Desproges.
P. Milhet, manager adoubé par la présidence et la plupart des supporters (dont je ne fais pas partie) ne s’est quasiment jamais exprimé dans la presse pour expliquer les raisons d’une telle incurie…
Mais quel est son rôle finalement ?
Auradou était le manager la saison dernière et c’était lui qui qu’on écoutait s’expliquer sur les résultats et le jeu pratiqué.Lui, »pépouze », jouï d’une totale confiance aveugle de la part de la direction.
Mais qu’il ouvre un peu sa bouche et qu’il donne les raisons d’une telle faiblesse dans cette équipe!Les gars, attention à celui-là, il réfléchit avec les bras !
Bonjour.
Je pense qu’en cas de défaite contre Rouen, des vrais décisions seront prises.
Mais dela à licensier le trio en entier, je ne pense pas car si ma mémoire ne me joue pas des tours P.Milhet avait signé un CDI il y a quelques saisons tout comme l’ancien analystes vidéos.Pour moi une chose est sur, ou on laissé Auradou au commande en tant que manager comme cela avait été indiqué mais il choisissait un encadrement au complet de AaZ ou alors on le laissait partir avec C.Laussucq.
A ce moment la David Darricarere avait les pleins pouvoirs en tant que Manager et constituait lui aussi son encadrement.
Pour moi ce qui a été fait contre Auradou l’an dernier puis contre son acolyte ensuite me déplaît fortement, c’est bas de gamme de dire qu’Auradou a pas de charisme, il suffit de voir son palmarès et d’ecouter les joueurs du Grand Stade Français periode Dominici/Guazini parler de lui mais la roue a vite tourné en ce début de saison.
Mais si le Stade descend, certes on fera le championnat des Landes avec Dax mais on ne remontera pas.
Et si tout cela relevait d’une stratégie purement économique à savoir que nous n’avons pas aujourd’hui les moyens de lutter en Pro D2 et que nous préparons une descente en nationale pour mieux nous restructurer à l’image des voisins qui ont abandonné les recrues fidjiennes ou géorgiennes pour cibler un recrutement local qui semble leur réussir. Quand on voit le recrutement actuel basé sur de jeunes espoirs régionaux en devenir ( idem pour notre duo d’entraîneurs) on peut imaginer un tel scénario. Nous pouvons imaginer un nouveau départ qui certes va nous faire du mal, mais économiquement nous ne pouvons pas lutter. Qui aurait dit qu’un jour nous aurions peur de Rouen pour éviter une descente? L’économie du rugby va bouger, regardez Castres, les entreprises mécènes vont se faire de plus en plus rares surtout quand les dirigeants aux manettes vont passer la main.
Le hic c’est que si tel est le cas alors JRC doit nous faire passer le message et expliquer le futur. Rien n’est pire qu’avancer dans le brouillard sans objectif. Est-ce que les cartes de remerciements envoyées aux abonnés ne sont pas un début de réponse?
Jean Robert, si vous nous nous lisez, on peut tout entendre et comprendre. Mais rien n’est pire que le silence.
» […] les hommes du trio Milhet/Tastet/Talès venaient de rester quasiment une heure sans scorer et d’encaisser un 23-0. À 23-13 et dix minutes à jouer, le bonus défensif était pourtant encore envisageable. Mais pas pour cette équipe, trop brouillonne et souffrante. C’est au contraire Montauban qui a profité d’une dernière défense kamikaze des Stadistes pour s’offrir un ultime essai. Au final, l’addition (30-13) est donc quasiment la même que vendredi dernier à Aurillac (32-11), même si l’impression générale est plus positive. C’est peut-être ce qui est le plus préoccupant… « On est dans une spirale négative, avec très peu de confiance, a admis Léo Coly au micro de Canal+. C’est très compliqué, mais il va falloir faire quelque chose ». Oui, battre Rouen et respirer un grand coup «
Extraits SO du samedi 28 novembre» Faire quelque chose » ? Mais quel peut être ce quelque chose ?
ce qui coule dans mes veines ne peut être que jaune et noir !
On joue avec 4 champions du monde des moins de 20ans,quand même…
C’est tout à fait vrai. Alors? Les joueurs ne sont pas des pourris, ils ont un réél talent. Qu’ils nous le montrent.
Avec Laussucq il y avait beaucoup de jeu au pied et c’était payant. Son système de jeu était efficace notamment défensif. Même si on a pris quelques tôles avec lui on faisait partie des équipes les plus pénibles à manoeuvrer.
Là je ne comprends pas notre système de jeu, et on voit bien que peu importe les joueurs alignés les erreurs de placement sont les mêmes. *Concernant les champions du monde u20, ce n’est pas parce qu’ils sont champions qu’ils feront carrière au haut niveau. Je l’espère pour eux quand même !
on fera le point après rouen et les matchs en retard dont valence
j’espère que le stade va se sauver mais aujourd’hui je suis très inquiet
ceux qui sont optimistes aujourd’hui sont aveuglés
il n y a rien qui nous ravit ou rassure sur l’équipe
Après ces matchs on en reparle
quand à la comparaison du match de vannes cetait le début de saison et ce match on aurait pu le gagner
mais aujourd’hui vannes 38 sm 7
pas de comparaisonet pour les entraîneurs
on a pas de sous
les précédents plombent le budget donc vous pouvez oublier cette hypothèseComme tous, match après match, je suis déçu.
Mêlées, touches indiscipline, en avants, jeu au pied, toute la panoplie des fautes se répètentToutefois, contre la majorité des forumeurs, je reste optimiste sur l’issue de la saison.
parce que le pire n’est jamais sûr,
tant qu’il y a de la vie il y a de l’espoir,
impossible n’est pas Français – donc Montois
le ballon de rugby est ovale et ses rebonds sont imprévisiblesOptimiste toujours, je crois en une révolte, à un zeste de chance, à un destin heureux.
Les Anglo-saxons, Irlandais, Anglais et consorts nous ont appris qu’une partie se joue en 80 minutes -et pas en 79 -(donc la saison de Pro D2, après une trentaine de match)D’autre part, je me garderai de critiquer déjà le Président, les dirigeants, les entraineurs.
Je suis sûr qu’eux ne baisseront pas les bras.Enfin, je me résignerais -si je dois me résigner- que SI, mathématiquement, l’irrémédiable arrivait.
Pour terminer, d’une manière plus générale, je pense que le pessimisme est un mal Français qui nous cause le plus grand tort,et bloque tout progrès ou réformes
Vive la France, vive le Stade, vive Moi
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