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, le il y a 4 années et 8 mois. This post has been viewed 10437 times
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De Nardi s’était déjà blessé l’épaule l’an dernier il me semble.. Du coup on se retrouve avec un seul arrière..
magnum nous a appris la nouvelle pour Alexandre: merci à lui pour sa réactivité.
La confirmation:
« Le jeune champion du monde des moins de 20 ans va devoir se faire opérer de l’épaule. Il manquera toute la première partie de la saison de Pro D2.
C’est un coup dur pour le Stade Montois, à deux jours de la reprise du championnat contre Provence Rugby ce vendredi.
Après avoir passé des examens à Bordeaux en ce début de semaine, Alexandre De Nardi a appris qu’il devait se faire opérer d’une épaule, ce qui le tiendra éloigné des terrains pendant environ quatre mois.
Quatre essais la saison dernière
Le jeune arrière, sacré champion du monde des moins de 20 ans avec l’équipe de France en juin malgré cette épaule douloureuse, manquera donc toute la première moitié de la saison. Il avait disputé douze matchs de Pro D2 la saison dernière, marquant quatre essais »article SOuest.fr
ce qui coule dans mes veines ne peut être que jaune et noir !
Je sens le retour des couteaux suisses !!!
On reconnaît le rouquin aux cheveux du père et le requin aux dents de la mère. Pierre Desproges.
LA PROSE SUD OUEST DU JOUR
MONT-DE-MARSAN David Auradou, en première ligne mais sûrement pas « père fouettard », évoque sa volonté de reconstruire un esprit d’équipe et ses relations avec David Darricarrère. Où l’on sent transpirer un changement d’atmosphère au Stade Montois « Créer une alchimie » L’entraîneur stadiste, qui a pris du galon avec le départ de Christophe Laussucq, veut installer un management très ouvert avec David Darricarrère, en charge des trois-quarts.Malgré ses deux mètres et son physique d’ancien 2e ligne, David Auradou vivait depuis cinq ans dans l’ombre de Christophe Laussucq au Stade Montois. Son compère de toujours parti à Agen, le voilà poussé dans la lumière, composant avec David Darricarrère un duo d’entraîneurs dans lequel il rappelle ici qu’il est bien le numéro 1. Mais un numéro 1 qui serait plutôt adepte de la démocratie participative que de la terreur militaire…
«Sud Ouest» La saison dernière s’est conclue sur une énorme claque en barrage à Vannes (50-10), quelles leçons en avez-vous tirées?
David Auradou On a débriefé entre le staff et les joueurs, je n’ai pas envie de m’étaler dans la presse… On n’a pas joué en équipe, on a failli sur pas mal de domaines. Peut-être que des choses nous ont sauté à la gueule sur ce match. Mais ça a été digéré, on en a parlé, on l’a évacué, trois mois après je n’ai pas envie de revenir dessus. C’est de l’histoire ancienne, on va faire en sorte que ça ne se reproduise pas. On est conscients de nos forces, parce qu’on a réalisé de très belles choses ces cinq dernières années, et on a modifié des choses à la marge, certains comportements, pour pas que ça ne se reproduise.
On a l’impression que quelque chose s’était cassé en termes d’état d’esprit. Vous attachez-vous à recoller les morceaux?
Il faut créer tout un environnement pour que le groupe prenne du plaisir sur et en dehors du terrain. Je crois fondamentalement en la notion d’équipe. Toutes celles qui ont eu des résultats avaient créé un collectif très fort. Il y a un dénominateur commun à toute équipe de rugby, c’est de créer une alchimie. Cette alchimie-là, l’an dernier, a été rompue pour diverses raisons. L’idée, c’est de la recréer. Est-ce que c’est le cas? C’est trop tôt pour le dire. Avant le début de la saison, tout est toujours beau, mais on veut tendre vers ça.
En termes de résultat, quel objectif avez-vous fixé?
C’est le président qui le fixe et c’est de jouer la qualification, le haut de tableau. Avoir de l’ambition, ce n’est pas être prétentieux, c’est avoir l’envie d’être un challenger, comme on l’a toujours été.
Vous avez perdu 13 joueurs pour seulement huit recrues…
(Il coupe) Ça, c’est des conneries ! Effectivement, il y a beaucoup de joueurs qui sont montés du centre de formation mais ce sont des joueurs à part entière. On les a formés pendant deux-trois ans pour certains, ils apportent donc des garanties supérieures à des gens de l’extérieur. Il y a des jeunes comme Bultel, Brayer, Durand, dont on ne parle pas dans le recrutement, mais en qui j’ai une pleine confiance. Et ce n’est pas par défaut : pourquoi aller chercher ailleurs alors qu’on a une politique de formation qui commence à porter ses fruits ?
Si on vous dit que l’effectif est moins fort que l’an dernier sur le papier, qu’en pensez-vous?
C’est ce qu’on me fait souvent comme remarque. Mais je pense que non, on a peut-être rééquilibré les lignes. Ce n’est pas un recrutement clinquant, c’est une évidence, mais en termes de fraîcheur et d’équilibre, c’est pas mal! On était la sixième équipe aux essais marqués l’an dernier : on a grandement renouvelé notre ligne de trois-quarts pour rééquilibrer ça et avoir une équipe plus dangereuse offensivement par exemple.
Vous reculez sans doute au 12e rang des budgets, est-ce que cela vous inquiète?
Oui, le paramètre économique est primordial dans le sport de haut niveau, donc oui ça inquiète, même si on ne découvre pas la situation, et au club, tout le monde se bouge pour avancer différemment, même si d’autres avancent plus vite. Des clubs comme Montauban, Colomiers et Aurillac ont lutté pour le maintien la saison dernière : vous vous dites que ça peut vous arriver? Bien sûr, on ne se voile pas la face. Quand on voit les équipes qui sont descendues ces dernières années, comme Narbonne ou Dax, on est plus proches de ces modèles économiques que des promus avec des gros moyens comme Nevers, Vannes ou Rouen… Le rugby tend vers les métropoles, mais ici, on a une force supplémentaire, c’est d’être une terre de rugby, d’avoir un centre de formation attractif. On sait que si dans les années à venir, on ne forme pas la moitié voire les deux tiers de notre effectif, on aura du mal à exister.
Donc l’année galère, vous l’envisagez? (Rires)
Non, je ne me le dis pas, je ne suis pas négatif! Mais on a aussi conscience qu’il y a la loi du sport, que si tu perds à la maison, tu deviens l’équipe à battre, tu es en difficulté et tu rentres vite dans le dur. A nous de ne pas être confrontés à ça.
Comment se passe votre association avec David Darricarrère?
Très bien, on apprend à se connaître. On n’hésite pas à se dire les choses, c’est constructif. Pour l’instant il n’y a pas eu de clash. Il y aura forcément des désaccords, mais, à partir du moment où les bases sont posées, qu’on est tous les deux embarqués dans un même projet avec le même horizon, avoir des divergences, ça peut aussi être moteur.
Au-delà du travail avants/troisquarts, comment fonctionnezvous?
Comme on est deux c’est très simple ! Il y a beaucoup plus de communication qu’avec Christophe (Laussucq, NDLR) en termes de management. L’important, c’est d’avoir un cadre, et à l’intérieur, que personne ne soit bridé. Ce n’est pas moi qui vais dire à « Darri» comment les trois-quarts doivent faire des passes! On a élaboré un projet de jeu et on échange au quotidien. C’est encore frais, tout ça se construit mais ça part sur de très bonnes bases.
Mais qui tranche en cas de désaccords, qui est le numéro1?
Sur le papier, c’est moi. Mais mon objectif n’est pas de le répéter tous les jours. Dire «c’est moi le chef», je n’en ai rien à branl… Je ne cours pas après la reconnaissance. J’ai cette responsabilité de devoir trancher quand il le faut, mais l’objectif est que les choses se fassent dans la discussion, pas que l’un prenne le dessus sur l’autre. Vous êtes tout de même plus en avant, alors que Christophe Laussucq prenait beaucoup de place jusqu’ici. Oui, c’était son fonctionnement: il n’est pas du tout dans la délégation, c’est comme ça. Quand je l’ai rejoint ici, je le savais. Il n’avait pas du tout la même façon de manager que moi je vais avoir, c’est une évidence. Après, j’ai été capitaine pendant des années, ça ne me gêne pas d’être mis en avant : ce n’est pas quelque chose après lequel je cours, ni que je fuis. Si j’ai accepté la mission, c’est que je m’en sens capable.
Vous avez conscience que tout Montde-Marsan pense que vous n’allez pas vous entendre avec David Darricarrère?
Ah… Ce n’est pas un scoop de dire qu’entre Christophe et «Darri» c’est très compliqué (leur relation, NDLR). Moi, j’étais forcément solidaire de Christophe sur le principe… Avec le président, on a arrêté le choix sur « Darri», il ne m’a pas été imposé. Après, ce n’est pas simple de créer un binôme, on avait tous les deux une forme de réserve, mais là-dessus, ce qui se dit en ville, je m’en contrefous. L’important, c’est ce qu’on va réussir à mettre en place, et je fais appel au bon sens : tous les deux, on a un seul objectif, c’est que le Stade Montois joue au meilleur niveau, avec un jeu plaisant qui nous fasse gagner. L’important, c’est que personne ne soit bridé, qu’il n’y ait pas de père fouettard et que les joueurs prennent du plaisir.MONT-DE-MARSAN Même s’il a perdu quelques cadres devant, où il devra tenter plusieurs paris, c’est surtout chez les trois-quarts, aux ailes et au centre, que le club jaune et noir va changer de visage
Arrières
Titulaire indiscutable depuis trois ans, Yoann Laousse-Azpiazu aurait dû être challengé par Alexandre De Nardi cette saison. Mais le jeune champion du monde des moins de 20 ans, blessé à l’épaule, manquera la première moitié de saison. En attendant l’arrivée d’un éventuel joker, Gerber peut couvrir le poste.
Ailiers
Du nouveau ici, avec les départs de Matanavou, Laborde, Huyard et du joker Taulagi à l’intersaison. Le fidèle Julien Cabannes et la fusée Naituvi, qui a fini la saison en boulet de canon (5 essais en 6 titularisations), partent avec une longueur d’avance sur la concurrence. Il s’agira de trois recrues : Jacquelain, spécialiste du 7 au potentiel certain mais actuellement blessé; Jaubert, qui n’a connu que la Fédérale 1 et devra hausser son niveau; et Marty, qui n’arrivera qu’à l’issue de la Coupe du monde. Fort de 15 matchs de Pro D2 la saison dernière avec Bayonne, il trouvera à coup sûr sa place dans la rotation.
Centre
Encore du nouveau, et encore de la jeunesse, avec Adrien Séguret, l’un des gros espoirs français au poste. Prêté par le LOU, où la concurrence était trop forte, ce champion du monde des moins de 20 ans en 2018 pourrait être la révélation de la saison. Alors que Romain Cabannes et Ropate Ratu ont rangé les crampons, l’expérience sera personnalisée par Joe Vakacegu, huit saisons de Pro D2 au compteur. Débarrassé de ses soucis physiques et de quelques kilos à l’intersaison, Wakaya pourrait toutefois mettre tout le monde d’accord. Enfin Jens Torfs a prouvé l’an dernier qu’il était une valeur sûre (20 titularisations).
Ouvreurs
Attendu comme le messie l’an dernier, Rémi Talès n’a pas pu marcher sur l’eau, plombé par des commotions à répétition. A son meilleur niveau, il est bien entendu indiscutable. Derrière lui, le staff aura le choix de l’expérience et du pied avec Gerber, ou de l’enthousiasme avec Gelin (qui peut aussi jouer centre), qui sort toutefois d’une saison blanche à Grenoble.
Demi de mêlée
C’est l’embouteillage, même si Loustalot, leader de jeu et de vestiaire, est la solution n° 1. Ormaechea mobilisé par la Coupe du monde en ce début de saison, deux jeunes vont tenter de s’imposer: la pépite Léo Coly, champion du monde des moins de 20 ans en juin, et Théo Duhourquet, privé de la saison dernière par une grave blessure.
Troisièmes ligne
Le départ de Pearce, au-dessus du lot en Pro D2, laisse un grand vide qui devra être comblé par Wavrin. Dans un registre plus mobile, l’ancien joueur de Bourg-en-Bresse a l’occasion de passer un cap dans les Landes. Gouzou, qui a éclos l’an dernier, est le recours naturel en numéro 8, même si Bécognée pourrait être la surprise du chef à ce poste. Cela pourrait libérer de la place à l’aile, où avec Tastet, Garrault et Brethous, la concurrence est rude, sachant que les jeunes Durand et Brayer poussent derrière.
Deuxièmes ligne
Aucun changement ici, où Cedaro, Paulino et Damiani doivent tout de même une revanche après une saison moyenne. Rey est impeccable dans son registre, et Du Preez, au frigo toute la saison dernière, mériterait de revoir le jour.
Talonneurs
Incontestablement un poste fort. À 23 ans, Latterrade est devenu un numéro 1 bis avec Christophe David. Un peu en retrait la saison dernière, Khribache, toujours irréprochable, complète la rotation.
Piliers
Grosse inconnue ici, avec les départs des expérimentés Hugues et Desmaison. Laval glisse à droite, où Castinel va devoir se faire violence. Le Géorgien Macharashvili, 20 ans, pourrait en profiter pour se révéler. A gauche, derrière la boussole Muzzio, c’est l’incertitude : Innocente arrive de Fédérale 1 et Bultel a signé pro mais ne compte même pas une heure de jeu en Pro D2
DEPARTS
Laussucq (entraîneur, Agen), Desmaison, Pearce, Peikrishvili et Taulagi (Agen), Shingler (Ealing Trailfinders), Seguy (Carcassonne), Laborde (Racing), Otazo (Saint-Jean-de-Luz), Huyard (Tarbes), Matanavou (Bédarrides/Châteauneuf-du-Pape), Ratu (retraite) et Cabannes (retraite), Hugues (fin de contrat).
ARRIVÉES Darricarrère (entraîneur), Innocente (Rouen), Wavrin (Bourg-en-Bresse), Gélin (Grenoble), Jaubert (Dax), Jacquelain (prêt, Grenoble), Vakacegu (Biarritz), Séguret (prêt, Lyon), Marty (prêt, Toulouse).Je retiens deux ou trois petites choses…
« David Auradou, en première ligne mais sûrement pas « père fouettard », évoque sa volonté de reconstruire un esprit d’équipe et ses relations avec David Darricarrère. Où l’on sent transpirer un changement d’atmosphère au Stade Montois »
« …Comme on est deux c’est très simple ! Il y a beaucoup plus de communication qu’avec Christophe (Laussucq, NDLR) en termes de management. »
« …on a un seul objectif, c’est que le Stade Montois joue au meilleur niveau, avec un jeu plaisant qui nous fasse gagner. L’important, c’est que personne ne soit bridé, qu’il n’y ait pas de père fouettard et que les joueurs prennent du plaisir. »
Dont acte…si seulement nous pouvions connaître une saison sans les galères passées…
ce qui coule dans mes veines ne peut être que jaune et noir !
Merci TRAVEE D pour ta retranscription. Je trouve que le journaliste ne pratique pas la langue de bois avec Auradou et dans la présentation de l’effectif.
On reconnaît le rouquin aux cheveux du père et le requin aux dents de la mère. Pierre Desproges.
La saison n’est pas commencée et déjà 3 blessés!!! L’hécatombe de la saison dernière me fait redouter celle qui se présente…
Nous avons , pour l’instant , quelques solutions de rechanges et il faut s’attendre à quelques blessures au cours des matchs … cela fait parti du lot ! Dommage pour DE NARDI , une décision plus précoce eut pu minimiser son indisponibilité .
A venir …..la compo.
Restez connectés 😉ce qui coule dans mes veines ne peut être que jaune et noir !
Nous avons , pour l’instant , quelques solutions de rechanges et il faut s’attendre à quelques blessures au cours des matchs … cela fait parti du lot ! Dommage pour DE NARDI , une décision plus précoce eut pu minimiser son indisponibilité .
Nous avions déjà eu ce genre de situation avec Beka Gorgadze qui s était blessé dans un match de phase finale, pour n être opéré qu au début de la saison suivante…maintenant il est probable que,dans certains cas, l intervention chirurgicale ne soit envisagée qu en dernier recours.
Communiqué de nos agents au plus près des joueurs: » Encore trop d’incertitudes pour vous donner immédiatement la compo exacte…Mais patience, elle ne saurait tarder «
ce qui coule dans mes veines ne peut être que jaune et noir !
LA VOILA cette 1ère feuille de match de la saison 2019-2020!!!
Le site-forum des Supporteurs du smrugby vous dévoile la composition de l’équipe des jaune et noir pour l’affiche Mont de Marsan – Provence Rugby
Le XV de départ:
MUZZIO – KRIBACHE – LAVAL
REY – CEDARO
TASTET – WAVRIN – GARRAULT
LOUSTALOT
TALES
CABANNES – SEGURET – WAKAYA – NAITUVI
LAOUSSE AZPIAZULes remplaçants:
DAVID – INNOCENTE – DAMIANI – BECOGNEE – COLY – GERBER – GELIN – CASTINELALLEZ STADE MONTOIS !!! JAUNE ET NOIR SONT NOS COULEURS !!!
La compo des visiteurs
Taumalolo – Forbes – Loukia
Mandoulet – lagrange
Anneta – Malet – Edwards
Darbo
Munro
Narumasa – Burotu – Brousse – Charlat
SolaSur le banc:
Jammes – Soave – Fabbri – Lockley – Bau – Delage – Massip et Vernetce qui coule dans mes veines ne peut être que jaune et noir !
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